Par Lionel Arsenault et Marketpedia
PRÉCAUTIONS À PRENDRE
Le questionnaire ODASE est basé sur une série d’hypothèses comportementales en lien avec le Capital de Résilience. Comme tout questionnaire psychométrique, il offre des résultats qui doivent être considérés comme des hypothèses et non des certitudes.
Une personne coachée peut réfuter les résultats du questionnaire pour diverses raisons qui lui appartiennent. Il est inutile d’obliger cette personne à accepter les résultats contre son gré. Si une telle situation de refus se présente à vous, il est recommandé de questionner la personne coachée sur les raisons de son désaccord et de lui demander quels résultats auraient dû être rendus par le questionnaire selon elle.
À titre de conseiller ODASE, vous devez garder à l’esprit qu’il y avait quatre manières différentes de répondre au questionnaire :
À partir du SOI IDÉAL - ce que l’on souhaite être.
À partir de l’image de SOI - ce que l’on croit être.
À partir du SOI miroir - ce qu’on pense être aux yeux des autres.
À partir du SOI RÉEL – ce que l’on est réellement.
Présentez à la personne coachée, ces quatre façons de répondre au questionnaire pour l’aider à déterminer de quelle manière elle a répondu au questionnaire.
CONTEXTE
Le questionnaire ODASE n’est pas un test de personnalité, ni un test de préférences psychologiques ou de préférences cérébrales.
Ces tests prouvent leur pertinence grâce à une approche descriptive et statique des comportements étudiés. Ils mesurent en général des traits relativement stables, fixes et difficiles à changer.
Le questionnaire ODASE a comme objectif de rendre compte et de mesurer la mouvance des comportements humains selon les contextes vécus. Il vise à cerner le potentiel humain malléable et ouvert au développement et à l’adaptation.
Ce test s’inscrit dans une perspective d’intelligence situationnelle en proposant des clés opérationnelles qui permettent d’analyser des contextes ambigus et complexes pour s’y adapter et y apporter une réponse appropriée.
Le test s’intéresse aux conséquences des surcharges mentales auxquelles sont exposées les individus au cours de leur vie.
Ces charges mentales excèdent parfois les ressources d’une personne et proviennent aussi bien du milieu organisationnel, du milieu professionnel ou du milieu personnel.
Une baisse de vitalité découle souvent de la surcharge mentale.
Le défi est de trouver une ligne de conduite qui soit simple et efficace pour apprendre à rebondir et progresser sur le territoire accidenté de l’existence humaine.
Quand la (sur)charge mentale* excède les ressources d’une personne
*La charge mentale est un cocktail qui mélange l’envie de bien faire, l’objectif de performance et la pression du temps
Pour voir la démarche à suivre, passez à l'étape 1.
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