Pessimisme

L’hypothèse proposée est que votre pessimisme risque de vous pousser à l’immobilisme. Vous pourriez avoir tendance à limiter les expériences nouvelles. Vous pourriez aussi être moins efficace vis-à-vis des situations requérant de la prise de risques.

 

Si votre perspective est plus négative, les efforts seront réduits ou une cessation des tentatives d’efforts additionnels pourrait s’ensuivre.

Il vous arrive souvent de ne voir que la partie négative de ce qui vous arrive. Vous anticipez le pire, convaincu que le monde va mal.

 

Face aux difficultés, vous craignez le pire résultat, sans qu’il soit nécessairement le plus probable.

 

Vous êtes plus sensible aux événements incertains, hors-contrôles ou imprévisibles. Vous anticipez le pire pour être prêt à faire face à la musique. 

 

Votre pessimisme vise à vous protéger du risque de déception et de regret.

Votre réflexe est de juger les choses par leur aspect défavorable ou négatif.

 

Vous avez tendance à vivre dans le doute en vous reposant sur l’idée que les choses tourneront mal. 

Vous vous nourrissez de certitudes préétablies (il est inutile d’essayer) et de non-engagement dans l’action.

Vous avez le réflexe de croire que si en ce moment tout va bien, cela ne va pas durer.          Dans les moments d’incertitude, vous vous attendez au pire.

Le Pessimisme a comme conséquence que…

 

  • Face à un problème, vous pourriez surestimer les petits risques.

  • Face à un problème, vous pourriez vous concentrer uniquement sur le mauvais côté des choses.

  • Face à un problème, vous aurez tendance à prévoir une issue fâcheuse aux événements, ou à la situation. 

  • Face à un problème, vous pourriez développer une appréhension de l’avenir qui se dessine comme catastrophique.

  • Face à un problème, vous pourriez supposer que des solutions n’existent pas. 

  • Face à un problème, vous prenez davantage de décisions pour vous protéger des risques supposés.